ANALYSE – L’Australie, pays peu touché par les décès covid, apporte une clarification sur les décès raportés suite à la vaccination Covid. Les chiffres sont éloquents et de réelles questions se posent.
Éléments factuels
L’Australie compte 25,858 millions d’habitants et attribue 1076 décès à la Covid-19, soit 41,62 décès par million d’habitants. Une mortalité très faible eu égard aux 169 301 décès en 2019 rapportés dans les statistiques nationales australiennes.
L’Australie décompte 8,27 millions de personnes pleinement vaccinées, soit 32% de la population et 53% de la population a reçu une première dose.
La base de données australienne des effets secondaires fait état de 487 décès signalés après vaccins covid – sur sélection des trois possibilités : Comirnaty (Pfizer-BioNtech), AstraZeneca et type de vaccin non identifié.
Au 22 février 2021, l’Australie comptait 909 décès attribués à la covid-19, et 1076 décès au 9 septembre 2021. Soit 167 décès attribués à la covid-19 depuis le début de la vaccination.
Analyse
- Sur la base de ce qui précède, il y a donc 2,91 fois plus de décès signalés après vaccin covid que de décès attribués à la maladie.
487 décès signalés après vaccin dans la base de données des effets secondaires, pour 167 décès attribués au Covid depuis le début de la vaccination. - De plus, le site des effets secondaires recense 547 décès tous vaccins confondus depuis 1971.
Les décès rapportés des vaccins Covid représente 487/547, soit 89% de tous les décès.
Sur six mois, il y a donc huit fois plus de décès rapportés suite aux vaccins covid qu’en 50 ans pour les autres vaccins, avec un total de 60 décès (grippe, hépatite, rougeole, DTP).
Il est important de noter que la population australienne compte une part importante de personnes ayant des comorbidités, en particulier du diabète et de l’hypertension.
En 2017-2018, environ deux Australiens sur trois (67 %) âgés de 18 ans et plus étaient en surpoids ou obèses (36 % étaient en surpoids mais pas obèses, et 31 % étaient obèses). Cela représente environ 12,5 millions d’adultes. Ceci comprend 23 % qui présentent une pression artérielle élevée non contrôlée, et environ 5% de diabétiques.
Étant donné que ces comorbidités sont associées à une inflammation chronique importante et une facilitation de la coagulation dans l’organisme de ces personnes, il semble urgent de se poser la question de la dangerosité des vaccins à ARNm (produisant de la protéine spike de façon incontrôlée) sur ces populations déjà en état d’inflammation.
En effet, de nombreux articles scientifiques commencent à rapporter l’activité très inflammatoire et pro-coagulante des vaccins à ARNm, en particulier à cause de la protéine Spike.
Une étude de Pfizer a montré que l’ARNm était détecté dans la plupart des tissus dès les premiers instants après injection (15 minutes) et les résultats confirment que le site d’injection et le foie sont les principaux sites de distribution (EMA, 2021). Après 48 heures, on retrouve cet ARNm surtout dans le foie (jusqu’à 21,5 %), les glandes surrénales, la rate (≤ 1,1 %) et les ovaires (≤ 0,1 %). Il a été démontré aussi par différents auteurs que la protéine Spike produite se retrouvait sous forme libre dans la circulation et pouvait atteindre de nombreux organes vitaux et essentiels, où elle peut exercer son action inflammatoire et activatrice de la coagulation : cœur, cerveau, foie, rein, organe génitaux (Trypsteen W et al., 2020)
Il semble donc essentiel d’analyser la mort vaccinale en fonction des comorbidités pays par pays. Le taux élevé de comorbidités en Australie a probablement un lien direct, même si cela reste à étudier, avec ce taux élevé de décès dûs aux vaccin COVID ARNm.
Références
EMA Public Assessment Report on Pfizer-BioNTech Vaccine. (2020). Accessed 5/2/21.
Trypsteen W, Van Cleemput J, Snippenberg WV, Gerlo S, Vandekerckhove L. On the whereabouts of SARS-CoV-2 in the human body: A systematic review. PLoS Pathog. 2020 Oct 30;16(10):e1009037.
Lesgards F, 2021 Pourquoi la proteïne spike est toxique dans le covid-19, mais aussi dans les vaccins à ARN messager et ADN ? Archives Scientifiques Libres de FranceSoir
Auteur(s): Xavier Azalbert et Dr Jean-François Lesgards, pour FranceSoir