Triomphe de la Guerre et du Grand Reset. Opinion abrutie. Retour sur Carlos Castaneda alors et nos élites hostiles : « Qu’ont-ils découvert, don Juan ? »

Triomphe de la Guerre et du Grand Reset. Opinion abrutie. Retour sur Carlos Castaneda alors et nos élites hostiles : « Qu’ont-ils découvert, don Juan ? »

Oui exactement.

Carlos Castaneda et les prédateurs : rappel sur des élites décidément trop hostiles

Il fut un temps où seul notre argent (disaient-ils) intéressait nos banquiers. Cet heureux temps n’est plus, dirait Jean Racine. Ce qui les intéresse c’est notre âme, notre esprit, notre libre arbitre, notre déplacement, ou pour parler moderne notre ADN et tout ce qui s’ensuit. Comme dit un de mes lecteurs, plus savant que moi sur ce sujet :

« Les chercheurs de vérité ont manqué le paramètre de long terme. Pourquoi réduire la population, la pucer pour la contrôler par le graphène nanométrique qui construit un système d’information connecté, imposer le crédit social, transférer la richesse de l’ouest vers l’est ? Il existe un SUPER PROJET qui nécessite de « leur » point de vue une gestion radicale du troupeau (Christophe). »

Christophe a son explication, que je vous mets en lien. Je reviens à Castaneda.

ARTICLE COMPLET’ CLIQUER SUR L’IMAGE) :

Triomphe de la Guerre et du Grand Reset. Opinion publique abrutie. Retour sur Carlos Castaneda et nos élites hostiles : ” Qu’ont-ils découvert, don Juan ? – Ils ont découverts que nous ne sommes pas seuls, me dit-il aussi clairement qu’il le put. Venu des profondeurs du cosmos, un prédateur est là, qui toute notre vie nous maintient sous son emprise. Les êtres humains sont prisonniers et ce prédateur est notre seigneur et maître. Il a su nous rendre faibles et dociles. Il étouffe toute velléité de protestation ou d’indépendance et nous empêche d’agir librement…Ils nous tiennent sous leur emprise parce que nous sommes leur source de subsistance. Ils ont besoin de nous pour se nourrir, et c’est pour cela qu’ils nous pressurent implacablement. Exactement comme nous qui élevons des poulets pour les manger, ils nous élèvent dans des poulaillers humains pour ne jamais manquer de nourriture (Castaneda, Le Voyage Définitif, p. 265). “

Carlos Castaneda et les prédateurs : rappel sur des élites décidément trop hostiles Il fut un temps où seul notre argent (disaient-ils) intéressait nos banquiers. Cet heureux temps n’est plus, dirait Jean Racine. Ce qui les intéresse c’est notre âme, notre esprit, notre libre arbitre, notre déplacement, ou pour parler moderne notre ADN et tout ce qui…

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